|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ ACTU NATIONAL ] [ CE QU EN PENSE FO LE MANS ] [ Négociations Annuelles Obligatoires ] [ ACTU LE MANS ] [ ACTU ] [ ACTU PGC ] [ ACTU PFT ] [ CARREFOUR EUROPE ] [ ACTU EPCS ] [ ACTU SARTHE ] [ ACTU CAISSES ] [ TICKETS RESTO ]
|
|
|
|
Prime : éclairage !
15/10/2011 08:58
source towers watson - 10 octobre. Résultats de l’Enquête Flash Towers Watson sur la prime de partage des profits Towers Watson a interrogé 128 entreprises quant à leur mise en œuvre des dispositions législatives de fin Juillet 2011, sur la prime de partage des profits. Il en ressort que seul 10 % des entreprises concernées ont déjà conclu en accord. Le montant de la prime envisagée est en moyenne de 200€.
Paris, le 10 octobre 2011 – Entre le 21 et le 30 septembre 2011, Towers Watson a lancé une enquête sur la mise en œuvre de la prime de partage des profits de Juillet 2011, à laquelle 128 entreprises ont répondu. «Le fort taux de réponse révèle les préoccupations des entreprises et leur souhait de disposer de repères en la matière», souligne Sofia Kettani, responsable de l’activité conseil en rémunérations chez Towers Watson.
À quatre semaines de l’échéance du 31 octobre 2011, si un tiers des entreprises concernées par cette loi ont entamé les négociations avec leurs partenaires sociaux, seule une sur dix a déjà conclu un accord. Le montant forfaitaire moyen qu’elles proposent est de 500€, pour un coût estimé d’environ 1,5% de leur masse salariale. Parmi ces entreprises ayant conclu un accord, la solution retenue pour un tiers d’entre elles est la révision de leur accord d’Intéressement et de Participation. Pour les entreprises dont les négociations sont en cours, la prime envisagée est en moyenne de 200 € (elle oscille selon les entreprises entre 100€ et 450€). Dans tous les cas, et à l’exception de quelques rares entreprises plus généreuses pour lesquelles le montant maximum versé peut atteindre 1 200 € (seuil d’exonération sociale fixé par le législateur), la prime individuelle maximum envisagée ne devrait pas dépasser les 650€. Par ailleurs, 40% des entreprises déclarent avoir accordé un avantage pécuniaire (non obligatoire) à tous leurs salariés en 2011. Il prend principalement la forme d’un supplément d’Intéressement (pour plus de la moitié d’entre elles) ou d’une attribution gratuite d’actions, ou encore les deux. «In fine, conclut Sofia Kettani, compte tenu des montants versés, cette disposition aura un impact marginal et ponctuel sur le pouvoir d’achat des salariés. En revanche, elle risque de considérablement limiter la marge de manœuvre des employeurs en terme de politique salariale dans les mois qui viennent, puisqu’elle aura consommé, pour 1/3 des entreprises, entre 1 et 2% de masse salariale, ce qui est très significatif lorsque l’on sait que le budget d’augmentations salariales prévu par les entreprises pour 2012 est de 2,8%».
Pour rappel La Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2011, promulguée le 28 Juillet 2011, prévoit le versement d’une prime à l’ensemble des collaborateurs des sociétés de plus de 50 salariés, qui ont versé en 2011 à leurs actionnaires des dividendes dont le montant par part sociale ou action est en augmentation par rapport à la moyenne des deux exercices précédents. Cet avantage se substitue à l’obligation de verser la prime de partage des profits, à condition qu’il ait été mis en place par accord après le 25 mai 2011, en tout ou en partie en contrepartie de l’augmentation des dividendes.
| |
|
|
|
|