En son temps le retrait du CPE a été le résultat d'un seul et unique mot d'ordre :
RETRAIT !
Pour gagner contre cette réforme des retraites, un seul et unique mot d'ordre :
RETRAIT !
Commentaire de marlene (22/06/2010 17:10) :
retrait pur et simple , mais le problème c'est que tout le monde
s'éparpille et aucun autre syndicat ne s'allie a nous , pour
montrer en puissance que nous ne sommes pas d'accord . et c'est
dommage que pour pour des sujets aussi importants nous ne soyons pas unis
car le mot syndicats quel que soit le camp que nous choississons signifie
défense de nos droits.....merci à vous d'essayer de les réunir pour
une prochaine grande manifestation......
extrait du blog du Syndicat des territoriaux CGT-FO de Brest et de sa Communauté Urbaine
20/06/2010 21:34
19 juin 2010 L'UNSA et la CFDT empêchent FO de rejoindre l'intersyndicale ! L'annonce du plan gouvernemental le ledemain de la manifestation phare de Force Ouvrière avait amené les composantes de l'intersyndicale (CFDT, CGT, UNSA, SUD, ...) à s'indigner. Leurs positions semblant se durcir nous pensions pouvoir peut-être rejoindre la manifestation intersyndicale du 24 ... Mais voilà, si la CGT, comme FO, a refusé d'aller re-discuter "les centièmes après la virgule" il n'en a pas été de même de François Chérèque, leader de la CFDT, qui s'est empressé d'aller tenter de défendre ses propositions devant Woerth, propositions qui intègrent l'allongement de la durée de cotisations. Cerise sur le gâteau, l'intersyndicale (CFDT, CGT, UNSA, SUD, ...), lors de la réunion de préparation de la manif. du 24, n'a pas souhaité se mettre d'accord sur un mot d'ordre unique, comme le retrait du projet. "On se refuse à avoir un mot d'ordre réducteur" a affirmé Jean Grosset (UNSA) approuvé par Marcel Grignard (CFDT). Alors voilà, tout est dit, pour l'intersyndicale, menée par la CFDT et l'UNSA, demander le retrait du projet serait réducteur ! Honte à eux et à ceux qui les suivent !!!! La messe est dite, nous sommes toujours dans une situation très proche de 2003 ou la CFDT a trahi très vite les salariés et ou la CGT n'avait pas voulu prendre ses responsabilités en appelant à la grève générale (ce qu'avaient fait FO et SUD). Alors participer à cette intersyndicale qui ne veut pas du retrait est impossible pour nous ... nous ne serons pas avec la CFDT et ses alliés le 24 ! Espérons qu'à la rentrée la CGT et SUD se ressaisissent, divorcent d'avec la CFDT, et rejoignent FO dans la bagarre pour le retrait.
Des milliers de pas, mais un PAS DE GEANT pour FORCE OUVRIERE !
16/06/2010 10:43
Mes camarades, vous avez parcouru :
8,8 Km
et fait :
12 454 pas
sur un cortège qui s'est étendu sur :
3,3 Km
Commentaire de marlene (16/06/2010 20:33) :
et oui pour la bonne cause nous serions prêts à franchir des montagnes , et
ce qui fait plisir à voir c'est que beaucoup se sont levés pour dire
non à tout cela et je leur dit merci et bravo il faut que l'on soit
unis et déterminés pour avancer et ensemble on vaincra
Commentaire de bipolaire :) (19/06/2010 17:41) :
Ensemble, on peut davantage que tout seul, c'est évident..! Ce qui
l'est moins, c'est justement de préférer marcher un jour sans les
autres :(
Commentaire de blogmaster (20/06/2010 11:49) :
Marcher avec les autres, bien sûr que ce serait l'idéal, mais pour
cela il faudrait que chacun ait des positions claires et pas une nasse à
trimbaler en y mettant une tonne de revendications.....
Force Ouvrière marche et fait grève contre la réforme des retraites, et la
grève proposée par FO, cela fait maintenant 3 ans qu'elle est refusée
par les grandes centrales syndicales !
La preuve que nous sommes dans le vrai, puisque enfin celles-ci vont
marcher le 24 Mai en appelant à la grève.
Mais encore une fois, sur des appels encore divergents et flous. La CFDT
acceptant encore une fois certains reculs néfastes aux salariés.
Jérôme
La manifestation nationale organisée à Paris par Force Ouvrière, dans le cadre de sa journée d’action contre la réforme des retraites, a réuni, ce mardi entre 23.000 personnes, selon la police, et plus de 70.000 personnes, d’après le syndicat. «Nous avons mobilisé au-delà de nos rangs» contre «un projet injuste et inacceptable, dangereux et inefficace socialement. Les retraites, c’est la mère des revendications, car le gouvernement en a fait la mère des contre-réformes», a affirmé le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, place de la Nation à Paris, au terme du défilé, qui a duré plus de quatre heures. Pour le syndicaliste, «reculer les âges et/ou allonger les durées de cotisation, cela relève de la provocation sociale» et «on est à des années lumières du "travailler plus pour gagner plus", on rentre dans le "travailler plus pour gagner moins et vivre moins longtemps"». «Grève we can!» «Déterminés, nous le sommes tous pour refuser cette contre-réforme. Notre détermination s’accompagne de pragmatisme, nous nous souvenons de 2003 et 2009 où le flou sur les revendications et le flou sur les modalités d’actions n’ont pas permis une victoire» des syndicats face au gouvernement, a aussi rappelé Mailly. Et de s’exclamer: «Oui, une grève est nécessaire, "grève we can", mes chers camarades!» Force ouvrière appelait, ce mardi, en solo, à une journée de grève interprofessionnelle et à une manifestation nationale, l’intersyndicale (CGT, CFDT, CFTC, FSU, Solidaires et Unsa) n’ayant pas répondu à son appel. Le syndicat de Mailly a en effet pris cette initiative parce qu’il juge «inefficaces» ce que son leader appelle «les journées saute-mouton» de l’intersyndicale, c’est-à-dire les manifestations répétées avec arrêts de travail. Depuis neuf mois, il a prôné en vain «une grève franche». Le secrétaire général de FO a toutefois prôné «une action commune, avec ceux qui revendiquent clairement un retrait du plan gouvernemental», suscitant des applaudissements des manifestants. «Taxation accrue des stock options» A FO, «nous disons non à tout report au-delà de 60 ans des droits à la retraite, non à tout nouvel allongement de la durée de cotisation, non à une remise en cause du Code des pensions civiles et militaires», a-t-il énuméré. En revanche, Force Ouvrière est «d’accord pour une augmentation de la CSG, à condition qu’elle ci pèse plus lourdement sur les revenus du capital et des produits financiers» et réclame une «taxation accrue des stock options, une remise en cause des niches fiscales et de la loi Tepa», selon son numéro un. Le ministre du Travail Eric Woerth doit livrer tôt mercredi le détail de l'avant-projet de réforme des retraites, bâti autour d'un recul de l'âge légal de départ. Les derniers arbitrages devaient être rendus lors d'une réunion à l'Elysée entre Nicolas Sarkozy, François Fillon et Woerth. (Source AFP)